La technologie ne vous sauvera pas, elle vous asservira

15 04 2020
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Mon cher lecteur,
 
La technologie permet d’affronter seuls des problèmes que nous n’aurions jamais eus ensemble.
 
Demain, nous aurons un bracelet électronique sanitaire à la cheville comme en Corée du Sud aujourd’hui (déjà 57 000 « distribués ») et nous l’aurons à cause de la défiance généralisée entre nous et la dérive d’États autoritaires.
 
À défaut de confiance réciproque, nous allons nous en remettre à la technologie.
 
Mais ce n’est pas un pis-aller, même pas un ersatz.
 
Si seulement nous avions eu confiance en notre gouvernement qui n’est jamais que notre émanation, nos proches, au sens littéral du terme et plus généralement nos concitoyens, tous ceux avec qui nous partageons notre citoyenneté française, cette « communauté de destin » selon le mot de Philippe Séguin.
 
Communauté de destin. Il y a quelques semaines encore, le terme pouvait paraître bien abstrait. Il ne l’est plus. Peu importe que nous fassions face à cette crise ensemble ou non, nous en partagerons les conséquences.
 
Notez la corrélation entre les pays qui s’en sortent le mieux et la confiance en leurs gouvernements lors de l’entrée en crise : Suède, Allemagne, Autriche, Suisse, Pays Bas.
 
Pas tant la discipline que la confiance
Ce ne sont pas les pays qui ont pris les mesures les plus drastiques le plus vite.
 
La Suisse par exemple applique des mesures moins sévères que la France avec à chaque fois plusieurs jours de retards. Et pourtant la situation dans le canton de Vaud était au moins aussi sévère qu’en Alsace voisine et pourtant, ils n’ont pas été débordés (Lausanne et Genève ont la même densité de population que Strasbourg).
 
J’habite en Suisse et si les commerces sont fermés, nous ne sommes pas confinés. Le canton de Vaud a distribué 400 amendes depuis le début du confinement contre 700 000 en France, un rapport de 1 à 20 à population égale.
 
Quelle injustice que ceux qui respectent les mesures les plus drastiques ne soient pas récompensés pour leurs efforts.
 
Et ne croyez pas que les Suisses soient plus disciplinés. 40 % de la population vaudoise n’est pas suisse, avec Portugais et Français comme premiers contingents d’immigrés et rien de ce que j’ai pu observer m’a permis de conclure à une plus grande discipline.
 
Discipline non, mais confiance oui, partout à tous les étages.
 
En Suisse, on n’avait pas jeté les stocks de masques, on n’a jamais manqué d’équipements, on n’a pas craché de mensonge à la face des gens et une deuxième fois en prétendant que c’était pour les protéger d’eux-mêmes, on n’a pas tenté de minimiser le problème en évitant de tester.
 
Personne n’a exercé de droit de retrait ou n’a brandi un arrêt maladie de complaisance, la poste fonctionne normalement ainsi que tous les services restés ouverts comme les notaires.
 
Et ce n’est pas grâce à une application sur un smartphone.
 
La technologie est le nouvel opium du peuple et le scientisme notre religion
 
 
Je m’appelle Guy de La Fortelle et je rédige le service d’information GRATUIT et INDÉPENDANT : L’Investisseur sans Costume.
 
À partir d’aujourd’hui, je vais vous dire tous les secrets de l’économie et de la finance que les médias grands publics « oublient ».
 
J’ai écrit un article complet sur La technologie ne vous sauvera pas, elle vous asservira
 
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À votre bonne fortune,
 
Guy de La Fortelle


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